Porsche Cayenne diesel par Kahn Design

Les Britanniques de Kahn Design viennent de mettre la main sur un Porsche Cayenne. Au programme : les différents traitements extérieur et intérieur pour en renforcer plus encore l’unicité. Revue de détails.

D’ordinaire plus coutumier de préparations pour les modèles Land Rover, Kahn Design change de crèmerie et décline son savoir-faire su un exemplaire du SUV de Zuffenhausen ici en V6 3.0 l diesel. Au menu est bien évidemment cuisiné le kit carrosserie, passages de roues élargis et encore prises d’air intégrées.

Le préparateur britannique annonce aussi des seuils de portes en acier inoxydable, pédalier alu, logo Kahn et nouvelle sellerie ou inserts. En complément Kahn décline une ligne d’échappement et deux doubles sorties en finition chromée, une garde au sol revue à la baisse et les jantes RS600 de 22″ laissant transpirer des étriers de freins au ton doré. Kahn Design pourra aussi répondre à d’autres options prises par le client.

Source : Kahn Design.

Volkswagen Golf R Cabrio , voilà l’été

Volkswagen Golf Cabriolet, voilà l’été

Comme le disait les Négresses Vertes dans une de leurs chansons : “Voilà l’été“.

On dirait que Volkswagen a attendu le bon moment (ce weekend) où la chaleur est montée et restée sur quasiment toute l’Europe pour déclarer l’arriver de l’été et bien entendu, au passage, nous glisser deux mots, via une campagne télé, sur la nouvelle Golf Cabriolet.




C’est vrai, elle est belle, jeune et glamour. Certains l’attendent depuis (trop) longtemps. On en avait parlé sur ce blog il y a quelques temps.

Repassons au crible l’ensemble des éléments importants de la petite dernière :
5 Airbags, un vrai plus mais dommage que les places de derrières n’aient pas d’appuie-têtes dignes de ce nom.
Allumage automatique des phares et détecteur de pluie, climatisation (compliqué pour un cabriolet…), ESP, jantes en alliage avec écrous antivol (pas bête sachant que c’est un modèle très volé).
Elle possède également l’activation ou la désactivation automatique des feux de route un et bien évidemment un toit souple à commande électro-hydraulique entièrement automatique.
De belles finitions des sièges viennent.

En deux mots, elle a tout d’un cabriolet sauf peut-être le prix car la version de base avec moteur 1,2 l est vendue à 24 000 €…

Introduction sur le marché du nouveau cabriolet Golf GTI

Avec ses 210 CV, le nouveau cabriolet Golf GTI est le roi de la route. Sportif, dans les couleurs Blanc Pur et  Rouge Tornade, il fait palpiter le coeur de nombreux fans de la GTI
Le cabriolet vous offre une expérience extraordinaire de la conduite. Les sièges coupés sport sont légendaires, et le volant profite d’un nouveau modèle de revêtement en cuir, avec des décoration rouges traditionnelles de grande qualité. Ce nouveau GTI apporte non seulement une super optique au niveau des phares, mais encore une bonne performance sur route avec seulement 7,3 secondes pour passer de 0 à 100 km / h. Il faut à peine 10 secondes pour que le toit du cabriolet passe de l’état ouvert à fermé.

Nouvelles de Porsche

Nouvelles de Porsche

Les premiers news aux news importants viennent de l’entreprise Porsche. Le 1 juillet 2012 trouve à 9. Donc Jens Hatje rencontres de Porsche au lieu de. Ce spectacle pour depuis peu et vieux a lieu dans le bois de livre. Les fans de Porsche de tout le monde se rassemblent ici autour d’exprimé sur les nouveaux modèles et votre véhicule de chéri parler. Qui n’a ce jour aucun temps ne doit pas désespérer, car la prochaine rencontre se trouve en juillet déjà dans les trous de départ et pour préciser en Allemagne la Bavière. Dans le Bad Füssing, les conducteurs de Porsche se rencontrent à 3. Donc. Bien que cela ce spectacle donne pas encore longtemps, beaucoup de nombreux conducteurs de Porsche se réjouissent de cette fête. Ce qui veut apprendre plus aux termes, cela peut.

Goodwood 2013 : un teaser pour la Bentley Continental GT3 (vidéo)

Goodwood 2013 : un teaser pour la Bentley Continental GT3 (vidéo)

Bentley continue de communiquer avant la présentation, qui se tiendra demain, de la nouvelle Continental GT3, déclinaison coursifiée et dépouillée de sa cousine de route. Cette fois le constructeur britannique vient de mettre en ligne un teaser vidéo.

Cette prochaine Bentley Continental GT3, dont nous venons de prendre le pouls en phase de construction, sera dévoilée demain au Festival of Speed de Goodwood. Elle y effectuera alors logiquement ses premiers tours de roues dynamiques laissant entendre son V8 4,0 l biturbo couplé à une boite séquentielle à 6 rapports.

Les spécificités techniques complémentaires de l’auto demeurent encore à la discrétion de Bentley. Lever de voile programmé pour demain. En attendant voici ci-dessous le teaser vidéo.


A lire également. La Bentley Continental GT3 en cours de construction et Goodwood 2013 : Bentley.

Source : Bentley.

Crédit vidéo : Bentley.

Crédit illustration : Bentley.

BMW i3 et i8 : le carnet de réservations ouvert

BMW i3 et i8 : le carnet de réservations ouvert

Alors que BMW vient de dévoiler les spécificités techniques officielles de la i3 (auto présentée en première mondiale à Francfort ) et que la i8 sera révélée à court terme, les deux autos de la gamme i sont d’ores et déjà disponibles à la réservation.

Si la BMW i3 (tout électrique) sera commercialisée à la fin de cette année et que la BMW i8 (hybride rechargeable) sera lancée courant 2014, vous pouvez déjà réserver l’une des deux (trois). Le choix s’articule entre la i3, la i3 avec prolongateur d’autonomie et la i8. Une i3 dont le style sera du reste mis en lumière ce 29 juillet.

« Une fois le formulaire envoyé, une place prioritaire sur la chaîne de production lui est assurée. Le client ayant pré-réservé finalisera ensuite la configuration de son véhicule avec son agent BMW i« , précise BMW en complément.

Pour mémoire l’hybride i8 n’a pas encore dévoilé la fiche technique du modèle de série (354 ch sur le concept) et, pour l’une et l’autre, aucun tarif n’est encore officiellement communiqué (la i3 devrait se négocier aux tarifs avoisinant ceux d’une Série 3). Avis aux inconditionnels, la réservation c’est via ce lien.

A lire également. Francfort 2013 : BMW i3, les spécificités techniques, BMW expose les i3 et i8 au Palais de Tokyo, La BMW i3 pour fin 2013, Un prolongateur d’autonomie pour la BMW i3 et Genève 2013 live : BMW i3 Coupé Concept.

L’achat d’une nouvelle voiture

L’achat d’une nouvelle voiture


Ça y est ? Vous vous êtes décidé à acheter une nouvelle voiture ? En voilà une excellente nouvelle !
Voici un petit récapitulatif de ce qu’il vous reste à faire une fois votre achat effectué :

Premièrement, il convient d’introduire votre demande d’immatriculation en vue de recevoir votre carte grise et vos plaques. À ce sujet, le site eplaque.fr, propose à présent, un nouveau système rapide et efficace qui permet aux nouveaux propriétaires de commander leur plaque via internet et de s’acquitter de la taxe régionale liée au certificat d’immatriculation. Le tout chez soi, sans se déplacer !

La taxe régionale varie en fonction du nombre de chevaux fiscaux du véhicule et en fonction de son âge (année de fabrication). Si le véhicule a plus de dix ans, la taxe est réduite de moitié.

La taxe CO2 relève de la catégorie des taxes additionnelles et vise à sanctionner les véhicules considérés comme « pollueurs ». Mais depuis 2008, c’est le système de l’écotaxe ou malus écologique qui remplace la taxe CO2 et qui vise à récompenser l’achat de véhicules plus respectueux de l’environnement.

La taxe de gestion qui existe quant à elle depuis 2009 permet d’amortir le coût de production de la carte grise. Mais pas de panique, cette taxe additionnelle n’est pas des plus coûteuses, son montant s’élève à quatre euros.

Mais les frais liés à l’achat de votre véhicule ne constituent pas la seule chose à laquelle il vous faut penser. Assurez vous d’opter pour une voiture répondant à toutes les normes de sécurité et fiable. Bien entendu, d’autres critères entrent en ligne de compte à l’occasion d’un nouvel achat et selon le propriétaire, on leur accorde plus ou moins d’importance. Le critère du confort en fait partie. Certains n’y accordent pas une grande importance et se contente d’un véhicule qui fonctionne correctement tandis que d’autres verront les choses d’une toute autre manière. Il en va de même pour le critère esthétique. La beauté du nouveau véhicule fera partie des exigences prioritaires de certains et à l’inverse, d’autres ne s’en soucieront que très peu.

Recherche : les voitures hybrides sont sans danger pour les pacemakers

Recherche : les voitures hybrides sont sans danger pour les pacemakers

Vous êtes-vous déjà demandé si la crv honda que vous conduisez peut avoir un effet sur votre pacemaker ? Une nouvelle étude de la Mayo Clinic en Arizona suggère que vous êtes en sécurité dans votre voiture électrique ou hybride même si vous êtes « équipé » d’un dispositif cardiaque implanté.

Même si ce fait n’a jamais été très préoccupant, il est rassurant de savoir qu’un test scientifique confirme ce que nous soupçonnions déjà, à savoir que les véhicules électriques et hybrides ne posent pas de menace de perturbations électromagnétiques (EMI) pour les personnes ayant un dispositif qui régule leurs battements de cœur.



Les dispositifs cardiaques implantables tels que les défibrillateurs (DCI) et les stimulateurs cardiaques peuvent, dans certains cas, capter les signaux provenant d’objets électriques ou magnétiques et les interpréter à tort comme une détresse potentielle provenant du cœur du patient. Mais dans une étude présentée à San Francisco le 9 mars, il a été révélé qu’une voiture à batterie hybride ou électrique n’a pas pu générer de quantité suffisante d’EMI pour causer des interférences avec les dispositifs cardiaques.

Des chercheurs de la Mayo Clinic, un centre médical à but non lucratif réputé dans le monde entier, ont étudié les effets de la conduite d’une voiture hybride telle que celles de la gamme Honda sur les dispositifs implantables de trois fabricants différents. Les champs électriques et magnétiques ont été mesurés dans six positions : à partir du siège du conducteur, du siège du passager avant, des sièges arrière gauche et droite, et depuis l’extérieur à l’avant et l’arrière de la voiture.
Chaque position a été évaluée à des vitesses différentes (50 et 100 km/h) et à des vitesses variables d’accélération et de décélération.

En tout, 30 participants ayant des dispositifs implantés ont été suivis de près pendant qu’ils changeaient de position dans la voiture et qu’ils la conduisaient. L’accent a été mis sur la détection en temps réel de toute interruption du fonctionnement normal de leurs appareils avant de conclure à une absence totale de danger.

Avec le bus VW et une planche en tour à l’Espagne

Avec le bus VW et une planche en tour à l’Espagne

C’est le printemps. Il fait froid. C’est le temps pour organiser les prochaines vacances d’été et pour se réjouir à l’avance des températures chaudes. Pour lui qui désire être flexible et sportif pendant les voyages, surf-cars.com est la bonne porte à frapper. Voyager avec un VW Bulli et une planche au nord de l’Espagne et goûter du soleil, de la mer et du San Miguel : Florian Ehlich l’a fait, le tour de surf dans le VW Bulli de Nils Pulpanek.

Le début de tout était l’année 2000: Nils Pupanek a acheté son premier bus VW Westfalia avec deux copains. Depuis ce jour-là, il explorait la côte atlantique de la Bretagne jusqu’au sud du Portugal. C’est qu’il aime particulièrement, c’est la sensation excitante de la liberté. Il ne voulait pas priver des autres de cette expérience. Donc, son hobby préféré est devenu son métier. Il a acheté encore quelques Bullis, plusieures planches et maintenant il rend pas mal des gens heureux avec son idée.

Le début de la tour d’Espagne

L’aventure a commencé à l’aéroport de Santander. Là-bas, le vieux camping-car accueillait les mecs et c’est parti: Après avoir fixé les planches sur le toit et après des courses pour avoir assez de provisions, ils ont démarré  le long de la côte du nord.

Les avantages d’une tour avec le Bulli

La bande pouvait s’arrêter là où il convient à tout le monde. Les mecs n’auraient pas désiré des meilleures couchettes. « Normalement, on peut garer le Bulli juste à côté de la plage. En se levant, on a donc une vue droitement sur la mer qui est toujours la porte à côté. » D’après Florian c’étaient les bénéfices d’être flexible, de toujours pouvoir cuisiner, de suivre le soleil et de simplement dormir là où on veut, qu’il avait aimé le plus.

Les voitures de surf

Mais la sécurité joue aussi un rôle décisif pendant une telle tour. La securité des ses voyageurs est particulièrement important pour Nils. Chaque Bulli est examiné pour des déficiences eventuelles après son rétour d’un voyage et au début de la saison chaque Bulli est contrôlé par l’ITV (responsable pour des contrôles techniques à l’Espagne).
Les Bullis sont parfaitement équipés : chaque camping-car contient une cuisinière, un frigo, un évier avec de l’eau courante, quatre places assises et des couchages pour un maximum de quatre personnes.  De plus, il ne faut pas se faire des soucis à cause de l’équipement pour cuisiner. Tout ce qu’on a besoin pendant un trip de camping est mis à disposition pour les voyageurs. On peut louer les camping-cars complètement équipé à partir de 50 euros par jour et à partir de 350 euros par semaine.

La panne obligatoire d’un VW Bulli

Même avec tous les avantages il ne faut oublier une chose: Les bus de VW sont vieux et têtus. Ils ne functionnent pas toujours de la façon qu’on voudrait. Les mecs n’étaient donc pas très surpris quand leur vieux bus a eu une panne. Les embûches des VW sont bien sûr quelque chose plutôt familier pour Nils. Quand un incident comme ceci se passe Nils s’en occupe aussitôt : Le Bulli de Florian et ses copains était transporté par une dépanneuse au site de Surf-Cars où on l’a réparé. Hormis cet incident les garçons pouvaient toutefois avoir confiance à leur vieux classique.

Apprendre à surfer : ce n’est pas facile

Tandis qu’il était à peu près facile de rouler d’un lieu au prochain, les premiers pas du surf étaient quelquefois plus difficile. « Surfer à l’air d’être plus facile qu’en réalité et c’est surtout plus fatigant. Donc, le début est parfois un peu frustrant. « Le conseil de Florian pour y arriver avec un minimum d’irritation est de suivre les conseils des surfeurs expériencés.

Les premières tentatives de surf étaient amusantes pour Florian. Si amusant qu’il vous recommande ces vacances avec enthousiasme : « L’offert est tout à fait gratifiant pour chacun qui préfére des vacances en liberté, sans des restrictions qu’on recontre par exemple dans un hôtel. En plus, on peut toujours partir quand et où on voudrait. En cas de mauvais temps on peut simplement aller quelque part où il faut beau. «

Des vacances chez Surf-Cars vous interessent ? Sur http://surf-cars.com/ vous trouvez plus d’informations. Si vous pouvez déjà sentir le soleil et la mer autour de vous, c’est votre chance de réserver vos prochaines vacances directement chez Nils.

La statistique des pannes de 2013

La statistique des pannes de 2013


L’ADAC, le club automobile allemand, a publié les résultats de sa statistique des pannes annuelle pour 2013. Avec 17 millions de membres et environ 27 millions de véhicules l’ADAC est le plus grand club automobil en Europe. En 2012, 2.6 millions de pannes ont été enregistrées ce qui rends une catégorisation des véhicules possible. L’évaluation sur une échelle de 1 à 5 montre les atouts et les faiblesses pour les parts différentes d’une voiture. Le fait que la plupart des pannes est causée par une faiblesse de la batterie est parmis les révélations les plus intéressantes. Voici un résumé:

 1. Les sous-compactes

Même si on ne pouvait plus l’acheter depuis plusieures années: C’est le VW Fox qui gagne de loin. Avec un minimum de pannes remarquable, il déplace le vainqueur de l’année précédente, le Ford Ka, sur la deuxième place. Le Citroën C1 conduit sur la troisième place. Tout les trois sont très proches. Le Renault Twingo s’assure une solide cinquième place accompagné par le Toyota Aygo et le Peugeot 107. Au bout du classement sur les deux dernières places sont le smart fortwo et le Chevrolet Matiz.

2. Les compactes

Il y avait des changements dans cette catégorie. L’année dernière le Nissan Micra était sur la 14ème place. Maintenant il est le gagnant. Le mini qui s’est trouve sur la première place dans l’année précédente doit se contenter d’être venu deuxième. Sur une bonne troisième place on trouve une voiture française : le Peugeot 206. Les deux dernières places de loin sont occupées par le Hyundai i20 et le Honda Jazz. Il y avait un montant frappant de pannes de la batterie pour les deux.

3. Les petites routières

BMW pouvait atteindre deux des trois premières places: Le X1 se trouve directement sur la première place dans sa première année. Sur la troisième place il y a le BMW 1. Entre ces deux il y a le Citroën C4 Picasso comme deuxième. Même Mercedes réussit d’être parmis le top 5 avec un 4ème place. En effet, les top 10 sont très proches. Les dernières places sont occupées par le Kia Ceed, le Hyundai i30 et le VW EOS qui ne voit que les feux arrières des autres.

4. Les routières

Le trio gagnant de la dernière année sont encore une fois sur les trois premières places. Cependant, l’ordre a changé: Audi prend la première place avec le Q5. Sur le deuxième on trouve le BMW X3 suivi par l’Audi A5. Au bout du classement il n’y avait pas beaucoup de mouvement. Ford occupe ce bout avec le Mondeo et le S-Max. Le débutant iX35 de Hyundai commence avec un mauvais résultat juste avant les deux Ford.

5. Les berlines de luxe

Encore une catégorie dans laquelle il y avait peu de changements. Audi confirme la première place de son A6. Seulement des petits détails sont responsables pour la deuxième place du BMW 5. C’est le début pour le Skoda Superb qui ne prend que la dernière place.

6. Les monospaces

Dans cette catégorie il y a seulement quatre modèles : Bien que le VW Transporter n’obtienne que des résultats moyens, il prend la pointe. Sur la deuxième place suit le Mercedes Vito/Viano. Le Ford Transit atteint une solide troisième place. Seul le Fiat Ducato reçoit des résultats pires que l’année précédente et réalise la 4ème et dernière place.

Des rappels de voitures de plus en plus nombreux

Des rappels de voitures de plus en plus nombreux


"Le taux de rappel - rapporté au nombre de voitures vendues au cours de la même période - a atteint 142 % au cours du premier semestre, ce qui veut dire que 42 % de véhicules en plus ont regagné les ateliers", explique le Centre de recherche automobile CAM de l'université FHDW de Bergisch-Gladbach (ouest). Pour le CAM, plusieurs raisons expliquent ces chiffres : la concurrence exacerbée qui pousse les constructeurs à développer de nouveaux modèles sur des cycles toujours plus courts avec un attachement moins grand à la qualité ; la pression sur les prix exercée sur les équipementiers ; le développement de plateformes pour construire plusieurs modèles qui, si elles permettent d'économiser sur les coûts, multiplient aussi le risque qu'une pièce défectueuse se retrouve dans des millions de voitures.

Le marché américain, thermomètre de la qualité

Sur le marché américain, 11,3 millions de voitures ont été rappelées au cours des six premiers mois de l'année contre 4,8 millions lors de la même période en 2012, laissant présager que les records de 2009 et 2010 (près de 16 millions et 18 millions de voitures rappelées respectivement sur l'année) seront dépassés. Le CAM juge le marché américain comme un bon indicateur en raison de sa taille, des conditions de sécurité strictes qui y sont observées et de la propension des Américains à porter plainte. "Le niveau de rappel montre que la qualité de produit - un indice important concernant la sécurité des véhicules - reste un sujet critique", estime le CAM, ajoutant que, outre l'énorme coût que ces rappels représentent pour les constructeurs, cela peut aussi porter atteinte à leur image.

Triste palme pour BMW

Parmi les constructeurs les plus concernés par le phénomène aux États-Unis figurent BMW, Chrysler et Hyundai-Kia, avec un taux moyen de rappel de 300 %. BMW détient le triste record avec un taux de 334 %. Plus de 500 000 de ses véhicules ont été rappelés pour des problèmes électriques ou d'airbag. Chrysler affiche un taux de 314 % de rappel, avec 2,85 millions de voitures concernées, en raison de risque d'incendie du réservoir en cas d'accident ou d'erreur dans les circuits de transmission. Quant à Hyundai-Kia, les rappels ont concerné 1,87 million de véhicules, soit un taux de 294 %, en raison de soucis de feux de stop et de régulateur de vitesse.

Valls : moins de 2 000 morts par an sur les routes en 2020

Le nombre des tués sur les routes de France continue de reculer, avec une diminution de 15 % sur les six premiers mois de l'année, confirmant les bons résultats enregistrés depuis début 2012. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a fait lui-même l'annonce de ces bons chiffres jeudi devant la presse place Beauvau : 257 vies épargnées au premier semestre, soit une baisse de 15,1 % du nombre des tués. "Ces résultats (sont) encourageants", avec une "baisse deux fois plus importante que l'année précédente", s'est félicité le ministre, qui s'est fixé comme objectif de faire passer le nombre de décès sur la route sous la barre des 2 000 morts par an d'ici à 2020. En 2012, le nombre des décès sur les routes avait connu un plus bas historique depuis 1948, avec 3 645 morts, soit une baisse de 8 % par rapport à 2011.

Radars, boîtes noires et abaissement des limitations de vitesse

Depuis le début de l'année, seul le mois de février a vu le nombre des tués augmenter. En mai, une baisse "exceptionnelle" de la mortalité a même été enregistrée, avec 29,5 % de décès en moins, notamment en raison de la météo maussade, de la crise qui amène les gens à rouler moins vite et de l'entrée en vigueur de nouveaux radars mobiles embarqués, selon la Sécurité routière. Alors que les départs en vacances se poursuivent, Manuel Valls a rappelé que la vitesse excessive restait la "cause essentielle" de la mortalité sur les routes. Le mois dernier, le ministre a demandé au Conseil national de la sécurité routière (CNSR) de se pencher sur la question de l'introduction de "boîtes noires" dans les voitures, afin de connaître les données techniques, en particulier la vitesse, dans les secondes précédant un accident. Il avait alors évoqué la possibilité d'abaisser les limitations de vitesse, une éventualité réitérée jeudi.

De 80 à 70 km/h sur le périph

Mais pour limiter les excès de vitesse, les radars restent indispensables, a insisté le ministre. "Nous ne baisserons pas la garde dans ce domaine-là, les comportements doivent évoluer impérativement", a-t-il dit, rappelant que 46 radars mobiles embarqués dans des véhicules des forces de l'ordre étaient déployés à ce jour. Ce nombre devrait passer à 100 d'ici à la fin de l'année. Manuel Valls a toutefois reconnu que 10 % des quelque 4 000 radars fixes installés sur les routes étaient indisponibles en raison d'une "maintenance faite par un nouveau prestataire" et d'"un délai de réparation plus long", sans remettre en cause un dispositif "très performant" "sur tout le territoire". "Sans ces radars, nous n'aurions pas cette baisse", a-t-il assuré.

Emboîtant le pas à la Mairie de Paris et au ministère de l'Écologie, le ministre de l'Intérieur s'est également dit "favorable" à une baisse de 80 à 70 km/h de la vitesse maximale sur le périphérique, ouvrant ainsi la voie à une mise en oeuvre rapide de cette mesure souhaitée par Bertrand Delanoë. En avril, à l'occasion du 40e anniversaire du "périph", le maire de Paris avait répété son souhait d'une telle baisse, pour améliorer la sécurité routière, mais aussi lutter contre la pollution et les nuisances sonores.

Bientôt 120 km/h sur autoroute, 70 km/h sur route secondaire ?

Réagissant à cette diminution significative de la mortalité routière, la Ligue contre la violence routière a salué des résultats "vraiment très encourageants". "Si la pression (sur les automobilistes) est maintenue de la même façon, nous allons vers l'objectif affiché de 2 000 morts en 2020", s'est réjouie sa présidente, Chantal Perrichon, pour laquelle "l'intense couverture médiatique" autour des nouveaux radars mobiles commence à "porter ses fruits". Elle a salué l'annonce concernant le périphérique, mais "s'il y a une limitation à 70 km/h à mettre en place très vite, c'est sur les routes secondaires, notamment sans marquage", a-t-elle insisté, honorant ainsi sa réputation de suffragette de la sécurité routière. Et comme la surenchère ne tue pas, elle suscite des vocations. C'est le tour de la principale fédération d'usagers des transports, la Fnaut, de demander une réduction de 10 km/h de la limitation sur autoroute, plus de sanctions pour les petits excès de vitesse, ainsi qu'une extension des zones 30 en ville. Qui dit mieux ?

Cette baisse intervient après le plus bas historique de 3 645 morts en 2012.

Cette baisse intervient après le plus bas historique de 3 645 morts en 2012.


Manuel Valls a annoncé une baisse du nombre de morts sur la route de 15,1 % au premier semestre 2013, et rappelé l'objectif de passer sous la barre des 2 000 morts avant 2020. © Fayolle Pascal/SIPA
   
 
Moins de 2 000 morts en 2020

Lors d'une conférence de presse place Beauvau, Manuel Valls, qui a fixé comme objectif de tomber sous la barre des 2 000 morts sur l'année en 2020, s'est félicité de ces "résultats encourageants", avec une "baisse deux fois plus importante" que l'année précédente. Après 2012, plus bas historique depuis l'apparition de statistiques en 1948 avec 3 645 morts, 2013 s'annonce donc sous de bons auspices. En juin, la baisse du nombre des morts a été de 11 %, après la baisse exceptionnelle de mai (- 29,5 %).

Valls favorable aux 70 km/h sur le périphérique

Manuel Valls a par ailleurs annoncé qu'il était favorable à une baisse à 70 km/h de la vitesse sur le périphérique parisien. Cette mesure, réclamée depuis plusieurs années par l'équipe du maire de Paris, Bertrand Delanöe, s'inscrit notamment dans le Plan de protection de l'atmosphère (PPA) pour l'Île-de-France, approuvé le 25 mars dernier, qui fixe des objectifs de réduction des émission de NOx (monoxyde d'azote) et de PM10 (particules fines).

Motos : le Sénat opposé au contrôle technique

La commission des Affaires européennes du Sénat s'oppose au projet de règlement européen instaurant un contrôle technique des motos.


Le contrôle technique pour les deux-roues est assez laxiste en Europe et la Commission européenne veut y remettre de l'ordre. Mais le Sénat s'y oppose pour d'obscures raisons... © FRANCOIS GUILLOT / AFP
     

Bruxelles pour un contrôle technique des deux-roues
Des motos plus propres, plus sûres et de plus de 100 chevaux
Permis moto 2013 : la donne change
"Alors que le Conseil avait supprimé ces dispositions, le Parlement européen a décidé le 2 juillet de les réintroduire", s'indigne la commission sénatoriale (lire notre article). "Dans l'optique des négociations qui vont avoir lieu, les sénateurs demandent au gouvernement de continuer à s'opposer fermement à l'introduction du contrôle technique", ajoute-t-elle. Pour les sénateurs "l'efficacité des contrôles techniques pour la diminution des accidents de motocycles n'est pas démontrée par les études scientifiques menées dans les pays appliquant déjà cette mesure".


La commission soutient que "les données utilisées par la Commission européenne paraissent provenir de sources ayant un intérêt à l'adoption du texte". "De plus, le trafic transfrontalier des motocycles demeure réduit et ne justifie pas d'imposer une réglementation uniforme à l'échelon européen", insiste-t-elle. Elle menace, si la décision était prise, "de lancer la procédure conduisant à la saisine de la Cour de Justine pour non-respect du principe de subsidiarité".

Range Rover Sport 2014: du talent à revendre

ESSAI. Le Range Rover Sport profite des bienfaits de la refonte du Range sans en afficher l'arrogance des tarifs. Mais là ne réside pas son seul talent.

Sportif dans l'âme, aussi à l'aise dans les trajectoires sur le bitume que dans les traversées de rivières, le Range Sport se sent pousser des ailes, même en diesel. © DR

En s'inscrivant structurellement dans le sillage du nouveau Range Rover, cette nouvelle version Sport a éliminé ses kilos en trop. Une perte de poids qui se révèle aussi spectaculaire que salutaire puisque comportement et performances s'en trouvent grandement améliorés.

Résultat, même si ce nouveau Range Rover Sport ne se montre pas aussi rigoureux sur le bitume que les meilleurs SUV d'outre-Rhin, il ne souffre plus de la comparaison, tout en leur opposant un redoutable savoir-faire dès qu'il s'agit d'emprunter les chemins de traverse.

LE PROJET

Avec plus de 400 000 ventes à travers le monde en huit ans d'existence, le Range Rover Sport a prouvé sa légitimité dans la gamme. Consultés par la marque sur son évolution, ses possesseurs le souhaitaient encore plus dynamique mais aussi plus proche du Range Rover dans sa définition. La découverte du résultat a dû les combler.

Pour preuve, rien qu'en France, plus de 400 commandes ont d'ores et déjà été enregistrées, et toutes émanent de clients qui ont à peine entr'aperçu le véhicule. La seule annonce des kilos perdus les a convaincus du surcroît de vitalité ; quant au rapprochement avec le Range Rover, il apparaît comme une évidence. Land Rover revendique pourtant peu de pièces communes entre les deux modèles. Plus des deux tiers des composants du Sport lui sont propres. Étonnant à une époque où la tendance est plutôt à la rationalisation des programmes.

Ingénieurs et designers jouissent d'une liberté de pensée agréable à constater. L'Indien Ratan Tata, qui s'est offert Jaguar et Land Rover en 2008, ne met aucun frein à leur créativité. Cette politique se révèle rentable, les comptes de Land Rover étant largement bénéficiaires.

CE QUI CHANGE

Hormis l'appellation et la ressemblance physique avec le Range, le Sport reposait depuis sa naissance sur une plateforme de Discovery. De quoi le rendre bien plus agréable à conduire que le défunt Range, qui avait pris de l'embonpoint en vieillissant. Aujourd'hui, son renouvellement suivant de peu celui du Range, le Sport tire profit des nombreux changements opérés par son aîné .

Le plus important est sans nul doute ce fameux recours massif à l'aluminium pour la structure et la carrosserie, avec à la clé une rigidité accrue, mais aussi un gain de poids considérable. Avec les autres efforts consentis en ce domaine, on atteint 420 kg de moins sur certaines versions, soit l'équivalent de cinq adultes et leurs bagages. Une cure d'amaigrissement qui n'a pas empêché le Range Rover Sport de s'étirer en longueur, 4,85 m contre 4,79 m précédemment. L'empattement suit le mouvement, en passant de 2,74 m à 2,92 m. La largeur demeure inchangée avec 1,98 m, mais 5 cm sont perdus sous la toise, avec désormais 1,78 m en hauteur. Au final, une silhouette plus élancée rappelle celle de l'Evoque. Normal, le Range s'en était déjà très largement inspiré. 

LA TECHNIQUE

L'offre en turbodiesel s'articule autour d'un V6 3.0 litres étalonné à 258 ch (TDV6) et 292 ch (SDV6). Plus conforme à l'esprit du véhicule, la seconde proposition semble avoir la faveur des premières commandes, d'autant qu'à finition équivalente l'écart de prix n'est pas considérable. Idem pour la consommation : 7,3 l/100 km (194 g/km) pour le TDV6 et 7,5 l/100 km (199 g/km) pour le SDV6.

Un 4.4 litres SDV8 développant 339 ch existe à l'international, mais sa commercialisation n'est pas d'actualité en France. En revanche, nous profiterons dès l'an prochain d'une motorisation hybride diesel aux performances prometteuses. Land Rover nous laisse entrevoir un 0 à 100 km/h établi en moins de 7 secondes (7,2 secondes aujourd'hui pour un SDV6) et des émissions de CO2 inférieures à 170 g/km. Enfin, pour combler les inconditionnels des moteurs essence, Land Rover France n'a retenu que l'excellence avec les 510 ch d'un 5.0 litres V8 Supercharged aux performances ébouriffantes.

De telles cavaleries imposent d'être correctement relayées, Land Rover a confié cette mission à une merveille de douceur, en l'occurrence une transmission automatique ZF à huit rapports. Le constat sur la puissance à négocier vaut également pour les liaisons au sol qui sont assurées par les trains roulants du Range Rover, après une mise au régime allégé partout où il y avait des grammes à gagner. La suspension est bien sûr pneumatique, afin d'obtenir une hauteur de caisse variable. L'ensemble est placé sous la surveillance d'un impressionnant arsenal électronique composé d'aides à la conduite diverses et variées, officiant aussi bien sur comme en dehors du bitume. 

LA VIE À BORD

L'aménagement intérieur dérive de celui du Range Rover, lui-même réalisé sous l'influence de l'Evoque. C'est beau et audacieux. Il faut toutefois prendre garde à ne pas s'égarer lors du choix des coloris. L'épreuve des épais nuanciers ressemble à la visite du show-room d'un styliste londonien un brin excentrique, et certaines combinaisons pourront heurter la rétine du non-initié.

Quelle que soit l'ambiance retenue, la touche de sportivité est obtenue via un volant au diamètre plus réduit et à la jante plus épaisse, mais aussi à une console centrale omniprésente grâce à une subtile surélévation. N'oublions pas également les sièges plus enveloppants, offrant à l'avant pas moins de quatorze réglages différents afin de s'adapter à la morphologie de chacun et d'obtenir la position de conduite idéale ; mention particulière pour les appuis-tête aussi moelleux que des oreillers. Originalité et confort ne sont pas contradictoires. 

Incompréhension en revanche concernant la proposition en option d'une version sept places, dont l'implantation est un véritable tour de force compte tenu du peu d'espace disponible à l'arrière du véhicule. Une troisième rangée d'assises qui se révèle aussi difficile d'accès qu'incommode d'utilisation, et ce, même pour des enfants. Dommage, car le service à bord est plutôt du genre cinq étoiles, à l'instar de l'installation multimédia ou du compartiment réfrigéré pensé pour accueillir une bouteille de champagne.

L'AVIS D'AUTO-ADDICT

En mai dernier, le Range Rover Sport nous avait accordé le privilège d'une brève rencontre, dans le cadre très privé de son circuit de développement, à Gaydon, non loin de Birmingham (lire notre reportage). Ce premier contact avait permis d'entrevoir l'étendue des progrès accomplis sur le bitume. Il nous restait à faire plus ample connaissance et par là même découvrir d'autres facettes de sa personnalité. Avec ses petites routes de campagne et ses forêts gorgées d'humidité, le Gloucestershire, comté ô combien superbe du sud-ouest de l'Angleterre, allait nous en donner l'occasion.

Inutile de parcourir de longues distances pour confirmer ce que nous savions déjà. Sa perte de poids a transfiguré le comportement routier du Range Rover Sport. Il se hisse au niveau des meilleurs SUV du marché. Son mode Dynamique lui permet d'aborder les virages sans ciller, l'absence de roulis combiné à des dispositifs électroniques optimisant son passage en courbe. Le résultat est spectaculaire.

Mais, pour l'obtenir, les suspensions travaillent a minima, et le recours aux pneus tailles basses (19 à 22 pouces) devient obligatoire pour éviter toute dérive intempestive. L'efficacité se paie au prix fort côté confort. Cette fermeté excessive gâche une partie du plaisir pour qui voyage en famille. Le mode standard est déjà plus supportable, mais il manque une position confort pour savourer pleinement de telles compétences.

Si le freinage est efficace, la direction à assistance électrique gagnerait à être plus informative. À ce niveau de prestations routières, on devient très exigeant. Porsche Cayenne et BMW X6 conservent une courte avance. Mais le Sport se distingue dès que le goudron se termine. Le système Terrain Response de dernière génération inauguré par le nouveau Range Rover a approfondi ses connaissances. Sa lecture du terrain est encore plus fine, et son aptitude à gérer les situations de crise encore plus efficace.

On frise la perfection, et ce, malgré le handicap de pneumatiques saturant dans la boue. Pourtant, nous progressons toujours et encore ! Sur un relief tourmenté, notre Range Sport sait prendre de la hauteur pour enjamber les difficultés. Cette élévation l'autorise même à faire trempette dans des gués jusqu'à une hauteur d'eau de 85 cm sans craindre de mouiller la moquette.

LES PLUS
- Comportement routier
- Agrément moteur boîte
- Capacités tout-terrain

LES MOINS
- Fermeté excessive
- Assistance de direction
- Sept places symboliques

Sous le capot du Range Rover Sport SDV6
Cylindrée : 2 993 cm3
Type : 6 cyl. en V diesel
Puissance : 292 ch à 4 000 tr/mn
Couple : de 600 Nm à 2 000 tr/mn
Transmission : 4x4 permanent
Boîte : automatique à 8 rapports
Dimensions (L/l/h) : 4 850 x 1 983 x 1 780 mm
Coffre : 784 l
Poids : 2 115 kg (7,24 kg/ch)
0-100 km/h : 7,2 s
Vitesse : 210 km/h
Consommation : 7,5 l/100 km
Émissions CO2 : 199 g (malus 5 000 € + 160 € annuel)
Prix : à partir de 70 000 €
Site web : www.landrover.com

Jaguar Project7: hommage à la Type D

En attendant la version coupé, Jaguar présente un exemplaire unique de la Type F, traité façon prototype du Mans des années 50.


La Project 7 est un concept roulant conçu pour rendre hommage aux 7 succès de Jaguar aux 24 Heures du Mans, et notamment à la Type D victorieuse en 1956 et 1957. © DR
      7 2
Par YVES MAROSELLI
À la une d'Auto-Addict


70 km/h sur le périphérique, le débat est ouvert
Valls : baisse de 15,1 % du nombre des morts sur les routes au 1er semestre
L'UE ne voit plus les agrocarburants comme la panacée
Sur le même sujet

Jaguar F-Type : le rugissement du grand fauve
Les Anglais savent s'amuser : Jaguar présente la Project 7 à l'occasion du superbe Festival of Speed organisé tous les ans dans le parc de Lord March, près de Southampton. Il s'agit d'un exemplaire unique construit sur la base d'une Type F pour rendre hommage aux... 7 victoires de la marque aux 24 Heures du Mans.

Plus précisément, c'est de la Type D victorieuse dans la Sarthe en 1956 et 1957 que la Project 7 s'inspire sur le plan esthétique, avec son pare-brise abaissé façon saute-vent et son appendice aérodynamique créant une espèce de dérive derrière la tête du pilote. Des boucliers, bas de caisse, et un imposant aileron arrière spécifiques complètent la tenue guerrière de ce prototype.

Monoplace de 550 ch


Comme la Type D, la Project 7 est une monoplace, l'emplacement du siège passager étant condamné par le rangement du casque du pilote. Car ce prototype est avant tout destiné à un usage sportif sur route fermée ou sur circuit.
Sous le capot, le V8 compressé de 550 ch repris de la XK RS garantit des performances de premier plan, qu'une ligne d'échappement débarrassée de tout silencieux se charge de mettre en musique. De nouveaux réglages de suspension déterminant notamment une hauteur de caisse réduite de 10 mm optimisent les qualités dynamiques de la bête. Rendez-vous le 12 juillet à Goodwood pour en juger sur pièces.




En attendant vous pouvez admirer la Project 7 en action sur le tracé en course de côte Shelsley Walsh :

70 km/h sur le périphérique, le débat est ouvert

Depuis que Manuel Valls s'est déclaré favorable à cette mesure, la Ville de Paris espère pouvoir débloquer un dossier dont la finalité reste floue.

"70 km/h demain, et pourquoi pas 50 après-demain, et 30 le mois prochain ? S'il y a un intérêt à ralentir autant les voitures, pourquoi ne pas aller plus loin ?" Ce chauffeur de taxi parisien ironise sur cette nouvelle lune de Bertrand Delanoë et la confronte à la réalité vécue au quotidien, celle des embouteillages qui lui interdisent l'essentiel du temps de rouler à une telle allure sur le périphérique parisien. Pourtant, le projet est bien dans l'air depuis que Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur, s'est dit "favorable" à une baisse de 80 à 70 km/h de la vitesse maximale sur cet anneau routier qui ceinture Paris au plus serré.

Ce feu vert, peu argumenté pour le moment, du ministre de l'Intérieur vient cependant mettre un terme au refus obstiné de la préfecture de police de suivre le maire sur cette nouvelle lubie. Peut-être redoutait-elle déjà d'avoir à organiser un Paris Plages chaque été sur cette voie rapide urbaine, que, dans son for intérieur, le maire aimerait voir repoussée bien plus loin des portes de la cité. D'ailleurs, il mène bataille avec détermination depuis des mois, depuis que le Conseil de Paris a adopté en juillet 2011 un voeu en faveur de cette mesure d'une baisse de 10 km/h de la limitation. Le maire de Paris nouait là un premier succès après avoir essuyé à plusieurs reprises, sous le précédent quinquennat, plusieurs refus. Il avait opportunément renouvelé ce souhait à l'été 2012, à la faveur de l'arrivée de la nouvelle majorité.

Pronostic au doigt mouillé

On voit donc mal comment l'administration pourra s'opposer plus longtemps à ce souhait dont les conséquences sur la qualité de vie parisienne semblent trop belles pour être vraies. Selon Julien Bargeton, adjoint PS au maire de Paris chargé des transports, une telle baisse aurait "un impact positif en termes de sécurité routière, de lutte contre la pollution et contre les nuisances sonores". Les Verts lui emboîtent le pas avec le candidat EELV à la mairie de Paris, Christophe Najdovski, qui assène : "Cette mesure, qui ne coûte rien, permettrait, selon les estimations de Bruitparif, de diminuer de 30 % la population exposée à des niveaux (de bruit) dépassant les limites le jour et de 55 % la nuit." Une estimation qui laisse perplexe pour l'ampleur des résultats rapportée aux nuisances les plus graves, celles émises par des deux-roues en échappement libre, et qui ne mobilisent pas beaucoup les contrôles policiers. Et là, 70 ou 80 km/h ne changera rien à l'affaire. Quant à la diminution de la pollution et des accidents, cela relève plus du pronostic au doigt mouillé que de l'étude scientifique.

La Ville défendra à nouveau sa position lors d'un comité interministériel de la qualité de l'air (CIQA), prévu mercredi prochain. Le dernier en date avait déjà abordé le sujet, recueillant les avis favorables des ministères de l'Environnement et des Transports, mais s'était attiré de nouveau le refus du ministère de l'Intérieur, pourtant devenu socialiste. Celui-ci sait que les plus grosses pollutions sonores sont nocturnes, à une heure où les plus inconscients ajoutent un bon 100 km/h aux limitations en vigueur. Radars ou patrouilles n'y font rien, les 35 kilomètres du périphérique, qui voit défiler jusqu'à 1,1 million de véhicules par jour, deviennent un anneau de vitesse la nuit. L'installation de nouveaux portiques radars sur le périphérique est sans doute la solution la plus avisée, si, pour autant, ils parviennent à identifier les véritables contrevenants.

L'armée suisse passe au Mercedes Classe G

L'armée suisse passe au Mercedes Classe G


Après avoir été fidèle pendant une vingtaine d'année à Puch, l'armée suisse va remplacer le 4x4 autrichien par le Classe G de Mercedes. Le tout-terrain allemand équipé d'un moteur diesel 6 cylindres de 184 ch servira pour tous les types de transports de personnes et de choses.


Nos voisins helvètes seraient-ils aussi frappés par des mesures d'économie ? Il faut le croire puisque le communiqué de l'Armasuisse, qui s'occupe des achats de l'armée suisse a indiqué hier que, face à trois concurrents, "l'offre de Mercedes-Benz a été retenue car elle était la plus avantageuse sur le plan économique". L'efficacité aurait-elle été mise de côté au point de menacer la sécurité du pays ? Pas tout à fait puisque ce même communiqué stipule aussi que "d'autres motifs du choix du véhicule de Mercedes-Benz ont notamment été la technique éprouvée et robuste, la réduction à l'essentiel des composantes et la simplicité d'utilisation pour la troupe". Rappelons que le Classe G reste un excellent franchisseur adopté par plusieurs armées (Canada, Autriche...) et qu'il est fabriqué à Graz en Autriche chez...Steyr-Puch

Les futurs tout-terrain de l'armée suisse seront des Mercedes G 350 CDI, version militarisée du 4 x 4 civil bien connu des amateurs de franchissement hors norme ne renonçant pas, par ailleurs, à filer dans le plus grand confort sur les autoroutes allemandes sans limitation de vitesse (lire notre essai du G65 AMG). Ce G 350 CDI est destiné à remplacer les anciens Classe G commandés dans les années 90 à plusieurs milliers d'exemplaires. Rappelons que le Mercedes Classe G est fabriqué chez le constructeur autrichien Steyr Puch qui appartient à la marque à l'étoile.

Cette acquisition sera proposée au Parlement suisse, dans le cadre d'un programme d'armement. Le nombre de véhicules commandés n'a pas été précisé et déterminera le montant de la commande. L'offre de Mercedes-Benz a été retenue, car elle était la plus avantageuse, a indiqué mardi Armasuisse, l'organisme fédéral helvétique chargé des marchés publics de l'armée, qui a précisé que le constructeur allemand a remporté l'appel d'offres face à trois autres concurrents.



L'indestructible G 350 CDI "pro"

Avec 6 600 ventes dans le monde en 2011 contre 4 330 en 2004 et plus de 200 000 depuis son lancement en 1979, le Classe G se porte plutôt bien compte tenu de son âge canonique dépassant le tiers de siècle et sa conception antique. En réalité, Mercedes fait le plein des immatriculations grâce aux versions professionnelles et militaires qui sont particulièrement appréciées par les pays du Golfe, les armées norvégienne, argentine et bientôt suisse, mais aussi par la police des frontières allemande ou encore les exploitants forestiers du Mato Grosso au Brésil.



Ces modèles sont tous basés sur le 350 CDI Bluetec, dont le V6 turbodiesel ne développe "que" 211 ch, mais avoue une capacité de traction de 540 Nm entre 1 600 et 2 400 tr/min. Accouplé à l'excellente boîte auto 7 rapports 7G-Tronic Plus qui comprend aussi un réducteur. Les trois blocages de différentiels sont à commande électrique, mais toute l'électronique de contrôle de motricité a été supprimée. Et en lieu et place du châssis Sport des versions AMG, ce sont les classiques essieux rigides accrochés au châssis à échelles qui garantissent une progression sur les terrains les plus difficiles.
Cette acquisition dont le nombre de véhicules commandés n'a pas été précisé sera proposée au Parlement suisse, dans le cadre d'un programme d'armement.

Mitsubishi Evo tagged with graffiti faster than you can say 'stop!'

Mitsubishi Evo tagged with graffiti faster than you can say 'stop!'


Ladies and gentlemen, meet Maggie Stiefvater, professional artist and musician, New York Times best-selling author and Mitsubishi Evo owner. Because, as she writes, "In my latest novel, The Dream Thieves, a character drives a car that looks just like mine. Only there's a knife painted on the side of his," she decided to graffiti a knife on the side of hers.

And that's how you get the time-lapse video below of Stiefvater, a few aerosol cans and a lot of stencils enjoying a sunny day in the park.


News Source: Maggie Stiefvater via YouTube

Tip: Buzz S.

Category: Sedan, Performance, Videos, Mitsubishi

Tags: graffiti, maggie stiefvater, mitsubishi, Mitsubishi Lancer Evolution, video

2013 Toyota RAV4 earns 'poor' rating in IIHS small overlap crash test [w/video]

2013 Toyota RAV4 earns 'poor' rating in IIHS small overlap crash test [w/video]


When the Insurance Institute for Highway Safety tested a batch of SUVs in its small overlap frontal crash test earlier this year, it held off on putting the Toyota RAV4 in the blender because the new, 2013 model was due to arrive shortly after the test. The new crossover might be better than it was before, but it could still only manage a rating of "Poor" in the test that has been a bugbear for a number of manufacturers.

Among other issues, the IIHS noted that the steering column moved seven inches to the right causing the crash test dummy to practically miss the airbag, the dummy's left foot was trapped in deformed sheetmetal and the dummy's head hit the instrument panel.




The 2013 RAV4 earned the Top Safety Pick rating by scoring well in the Institute's four other tests. A good score in this particular test would have earned it the Top Safety Pick+ rating that is so far only claimed by the 2014 Subaru Forester and 2013 Mitsubishi Outlander Sport in the SUV category. There's a press release below with more details and a video of the test.



Show full PR text
The Toyota RAV4 earns a poor rating for protecting people in small overlap frontal crashes.

The Toyota RAV4 earns a poor rating for protecting people in small overlap front crashes. The small SUV was redesigned for the 2013 model year, but the changes weren't enough to lift the RAV4's performance in the Institute's challenging test. A combination of poor structure and inadequate control of the dummy's movement prevented the RAV4 from earning a better rating.

ARLINGTON, Va., July 11, 2013 - The 2013 Toyota RAV4, a small SUV, earns a poor rating for performance in the IIHS small overlap front crash test.

Toyota redesigned the RAV4 for the 2013 model year. The automaker made additional changes to models built after April to better control the stability of the steering column and to provide extra padding under the footwell carpeting.

The changes, however, weren't enough to lift the RAV4's performance in the small overlap test. A combination of poor structure and inadequate control of the dummy's movement prevented the RAV4 from earning better than a poor rating overall.

The driver's space was seriously compromised by intruding structure, and the dummy's left foot was trapped by crushed and buckled sheet metal in the footwell. Injury measures on the dummy indicated a high risk of injury to the lower left leg. The dummy's head barely contacted the frontal airbag before sliding off the left side as the steering column moved more than 7 inches to the right, resulting in little airbag cushioning for the chest. Additionally, the safety belt allowed excessive forward movement of the dummy's head and torso, contributing to the head hitting the instrument panel.

IIHS in May released results for 13 other small SUVs but delayed testing the RAV4 because Toyota was making changes to the redesigned model. If design changes are imminent, the Institute delays tests to ensure that IIHS ratings don't soon become obsolete. The practice also encourages automakers to improve designs more quickly.

In the earlier tests of small SUVs, only the Subaru Forester and Mitsubishi Outlander Sport earned a good or acceptable rating for occupant protection in a small overlap crash and qualified for the IIHS TOP SAFETY PICK+ designation. Eleven other small SUVs are rated marginal or poor (see full ratings here).

"This is a challenging test," says Institute President Adrian Lund. "Most manufacturers are going to need to make significant changes to their vehicles in order to improve protection in these kinds of serious frontal crashes."

The Institute added the small overlap test to its lineup of vehicle safety evaluations last year. It replicates what happens when the front corner of a vehicle strikes another vehicle or an object like a tree or a utility pole. In the test, 25 percent of a vehicle's front end on the driver side strikes a 5-foot-tall rigid barrier at 40 mph. A 50th percentile male Hybrid III dummy is belted in the driver seat.

The 2013 RAV4 previously earned the TOP SAFETY PICK award for good ratings in the Institute's four other tests - moderate overlap front, side, rollover and rear.

Jaguar Project 7 concept is an F-Type in a D-Type mold [w/video]

Jaguar Project 7 concept is an F-Type in a D-Type mold [w/video]

In addition to the XJR, XFR-S and XKR-S GT models Jaguar is bringing to the Goodwood Festival of Speed this weekend, the manufacturer announced that the F-Type-based, D-Type-inspired Project 7 design study will make its "dynamic" debut at the festival, with driving duties assigned to Mike Cross, Jaguar's chief engineer of vehicle integrity. Here's the cool part: With Jaguar's Director of Design, Ian Callum, leading the team responsible for Project 7, it went from the drawing board to track testing in only four months, Jaguar states, with a claimed 0-60 time of 4.1 seconds and top speed of 186 miles per hour.





Project 7, which was named in honor of Jaguar's seven wins at the 24 Hours of Le Mans, will be making runs up the hill at Goodwood over all three days of the festival, which starts at the Goodwood House in West Sussex, England, this Friday.

Far from a fragile concept car, Jaguar says, the single-seat Project 7 is a fully functional sports car. It uses the all-aluminum chassis and body of the F-Type, retains that car's 550-horsepower, supercharged 5.0-liter V8 and eight-speed automatic transmission but features lots of bespoke carbon fiber aerodynamic bits, some of which were inspired by the Le Mans-winning D-Type of the 1950s. The most obvious nod to that classic is the rear fairing with integrated rollover hoop – the F-Type's convertible top is gone. The windshield was also lowered, giving the roadster a more rakish silhouette as it sits on 20-inch forged-alloy wheels with carbon fiber inserts.

The driver sits on a composite seat lowered by 1.2 inches compared to the production F-Type and is anchored to it by a four-point racing harness. The passenger seat was replaced with a helmet holder, which demonstrates that the car really does have the purity of purpose Jaguar claims it has and would give us an excuse not to bring any weight-adding passengers along for a ride – if we ever had the opportunity to drive it, that is. Scroll down below for the official press release and a video.

Show full PR text
At-a-glance

- Project 7 was created by the team led by Jaguar Director of Design Ian Callum as a one-off design study based on the new 2014 Jaguar F-TYPE

- Jaguar Project 7 will make a dynamic debut at the 2013 Goodwood Festival of Speed

- Project 7 is an all-aluminum bodied roadster featuring a Jaguar D-Type inspired fairing, bespoke carbon-fiber aerodynamic components, and a single-seat cockpit

- Powered by a 5-liter supercharged Jaguar V8 engine with 550hp, Project 7 will reach 60mph in 4.1 seconds and attain a top speed of 186mph

- Project 7 will be driven at Goodwood by Mike Cross, Chief Engineer, Vehicle Integrity, Jaguar

(MAHWAH, N.J.) - July 9, 2013- The Jaguar Project 7 concept will make a dynamic debut at the 2013 Goodwood Festival of Speed on July 12. This concept vehicle is based on the 2014 Jaguar F-TYPE, an all-new, two-seat convertible sports car and winner of the 2013 'World Car Design of the Year' award.

"Project 7 is a single-seat sports car based on the F-TYPE, with the kind of racing-inspired form that designers dream about. It has one purpose: to be driven fast and enjoyed.Jaguar sports cars are known for exceptional performance and clean design. Project 7 captures that spirit in its purest form."

- Ian Callum, Director of Design, Jaguar

Project 7's name acknowledges Jaguar's winning of Le Mans seven times between 1951-1990, and its blue paintwork is reminiscent of the victorious Jaguar D-type cars of 1956/1957.

"The overriding dynamic aim when developing the F-TYPE was ensuring connected feel; it's a true, driver-focused sports car; agile, immediate, fast and, of course, fun. Having achieved that for the road, Project 7 has given us a unique opportunity to go that little bit further. It's visceral in every sense - its response, its sound and its sheer performance. I'm very much looking forward to driving it at Goodwood."

- Mike Cross, Chief Engineer, Vehicle Integrity, Jaguar

Project 7 is not a static concept, but a fully-functional, high-performance sports car. The F-TYPE's rigid all-aluminum architecture provides the perfect starting point, with power supplied by a 550hp supercharged 5-liter Jaguar V8 engine. This power is delivered to the rear wheels through an eight-speed ZF transmission with "Quickshift" technology, and an active electronically controlled limited slip differential. Project 7 also features a free-flow exhaust system with a ceramic finish, 10mm lower ride height and a custom-calibrated spring/damper tune.

"Jaguar's sporting bloodline and innovative ambition are perfectly embodied by Project 7, both through its sensual design, and its shattering performance. Project 7's Goodwood debut will provide a great stage to showcase the creativity of our design and engineering teams."

- Adrian Hallmark, Global Brand Director, Jaguar

Project 7: A story of passion

Under Director of Design, Ian Callum, who constantly challenges his team to push the boundaries of design, Project 7 went from being an experimental sketch by Jaguar designer Cesar Pieri to the track in just four months.

Bringing to bear his love for cars and motorsport, his passion for Jaguar's heritage, and his familiarity with the F-TYPE, Pieri drew a single-seat sports car with a swooping profile, cut-down windscreen and race-inspired livery.

"When I saw this sketch of a low-screen, single-seat F-TYPE, I felt enthused by it and wanted to take it further. As designers, our very purpose is to disrupt - to turn the norm on its head and see if it still works - and here at Jaguar, we love to push the boundaries. As a team our challenge was to take this gem of an idea, work within the limitations of production feasibility, and create something worthwhile. So I encouraged Cesar and Alister Whelan, Chief Designer, Jaguar, to take it to the next stage and develop a workable concept, and with the support of key departments across the business, Project 7 was born."

- Ian Callum, Director of Design, Jaguar

Following digital modeling, a clay model of Project 7 was produced. With that signed off, the Jaguar engineering team worked closely with the design team to ensure that the build stayed true to the concept.

The F-TYPE's two key design 'heartlines' remain. The most prominent change is the new D-T ype-inspired rear fairing section that incorporates a rollover hoop and swoops down from behind the driver. The convertible top system has been deleted.

Aerodynamic modifications include a carbon-fiber front air splitter, side skirts, large rear diffuser and a fixed rear spoiler with a 14-degree angle of attack, giving Project 7 a low muscular stance. The side louvers and bonnet vents are also carbon-fiber, while the carbon-fiber and aluminum mirrors draw inspiration from those on Jaguar's C-X16 sports car concept, which inspired the F-TYPE.

The windshield has been lowered, while a new front fascia design incorporates revised air intakes and headlights with gloss black surrounds. The car sits on 20-inch forged-alloy wheels with carbon-fiber inserts.

The cockpit of Project 7 is no less impressive than its exterior. The driver sits in a composite bucket seat, which is 1.2 inches lower than the stock seat, and is gripped by a four-point racing harness. The passenger seat is replaced by a custom fabricated helmet holder, which carries a custom-designed Project 7 helmet in matching blue paint and graphics, secured by its own harness.

The seat and the insides of the doors are finished in a quilted racing-style diamond pattern. There are carbon-fiber inserts on the console and shift lever, and the steering wheel is equipped with machined aluminum paddles.

"When you look at this car, it has got an enormous amount of appeal. It's just full of desire - you can see that its sole purpose is to be enjoyed. Project 7 is a very special car - not just because it's a one-off, but because of its purity of purpose. It's pure Jaguar."

- Ian Callum, Director of Design, Jaguar

###

JAGUAR PROJECT 7: TECHNICAL SPECIFICATIONS*

ENGINE & TRANSMISSION

Engine Capacity (cc): 5000
Cylinders: 8
Valves per cylinder: 4
Compression ratio: 9.5:1
Bore/stroke (mm): 92.5/93.0
Bore/stroke (inches): 3.64/3.66
Transmission: Eight-speed ZF transmission with 'Quickshift' technology

PERFORMANCE

0-60mph (sec): 4.1
50-75mph (sec): 2.4
Top speed: 186 MPH (electronically limited)
Power (HP@rpm): 550 @ 6500
Torque (lb ft@rpm): 502 @ 2500-5500
Wheels: 20-inch "Blade" forged-alloy
Tires: Pirelli P Zero 255/30/20 (front) / 295/30/20 (rear)

*ALL FIGURES ARE MANUFACTURER'S ESTIMATES

- Project 7 will be in action on the hill over all three days of the Goodwood Festival of Speed: Friday, July 12, 2013 through Sunday July 14, 2013

- Other Jaguar models in action on the hill include: XJR, XFR-S and XKR-S GT

- Jaguar has won Le Mans seven times:

1951: C-Type: Peter Walker, Peter Whitehead
1953: C-Type: Tony Rolt, Duncan Hamilton
1955: D-Type: Mike Hawthorn, Ivor Bueb
1956: D-Type: Ron Flockhart, Ninian Sanderson
1957: D-Type: Ron Flockhart, Ivor Bueb
1988: XJR-9LM: Jan Lammers, Johnny Dumfries, Andy Wallace
1990: XJR-12: John Nielsen, Price Cobb, Martin Brundle

BMW Concept Active Tourer Outdoor enjoys a day in the sun

This BMW Concept Active Tourer has evolved for the nature and cycling set and premiered at OutDoor Friedrichshafen, a trade fair in held this month in Germany. The sturdy wagon is tweaked with new materials, accessories and ConnectedDrive features for those who do a lot of their living under the sky as opposed to inside their cars.

Under the hood is the same plug-in hybrid drive system we've were introduced to in 2012, featuring a transversely-mounted, 1.5-liter turbocharged three-cylinder engine paired with an electric motor and a battery pack under the rear compartment floor. Total output is 190 horsepower and 147 pound-feet of torque headed to the front wheels, a claimed time from zero to 62 of under eight seconds, a pure electric range of up to 19 miles, a top speed of 124 miles per hour and claimed fuel economy of around 95 US miles per gallon.

The space behind the rear seats is the showcase, with a transformable compartment that can stow two bikes on built-in, retractable carriers. Remove the front wheel and seat from the bikes, then the frames can be locked into place using two rails and brackets. The wheels can be stowed in a holder attached to the right rear seat, the saddles can go into a compartment in the load floor. If you need to make a quick adjustment or a fix, you can do so since the bikes are aligned across the load bay.

Dirty, oily machinery isn't kind to interiors, so BMW has given the Concept Tourer Outdoor tough surface treatments in MoonRock Gray and MoonWhite to keep the abuse at bay. The load floor is a studded plastic in MoonRock Gray, the forward parts of the cabin are in MoonRock Grey and MoonWhite leather, plastic, Alu Mesh and Steron trim. Gold Race Orange trim inside matches the color of the body outside, and it all sits on 20-inch wheels.

One of the Connected Drive features on the eight-inch black panel display is a "Heart of the Alps" route guide, a product of BMW and the Austrian Tyrol tourist board, that provides "exclusive premium routes in the Seefeld, Ötztal and Zillertal regions."

The press release below can tell you more, the high-res gallery of images above can put it all into pretty perspective.

2014 Nissan GT-R

There are only a handful of vehicles in existence that can change you permanently – ones that have the power to rewire your concept of speed to fit their definition. Some five years after the Nissan GT-R legally touched down here in the US for the first time, the coupe is still bending perceptions of what it means to be a supercar in the modern age. For 2014, engineers reworked the GT-R's twin-turbocharged 3.8-liter V6 engine for more power, tweaked the transmission and massaged the suspension for ever more speed. Yes, that's right, I said more speed.

The changes have sharpened one of the best performance buys on the market into a weapons-grade track assault vehicle that just so happens to be street legal. More than ever, this is a car that rankles established supercar players with names like Lamborghini,Ferrari and Porsche, and does so with a Nissan badge on the hood.

Chasing The Legend

Aesthetically, the GT-R hasn't changed all that much since the car first bowed, but that doesn't stop onlookers from busting out their cell-phone cameras at every stop light. I've had the pleasure of driving some incredibly expensive and rare vehicles, and none have courted attention the way the 2013 Nissan GT-R does. The car is still downright stunning, and in the flesh, there's no avoiding just how much gravity this thing generates. With all of its weight thrown down low into those wide front fenders and a flared tail end, the GT-R has all the pull of a neutron star. The car rolls down the freeway cocooned in an orbiting cloud of eyeballs.

And much of that draw comes from how clearly the GT-R communicates its purpose. Those chunky, 20-inch RAYS forged aluminum rollers look built to turn the weighted wheels of time, and the gleaming bronze six-piston Brembo monoblock calipers up front peek through the spokes to hint at industrial levels of brake force. The front rotors are a batty 15.35-inches across and 1.28-inches thick. Out back, engineers fitted the GT-R with four-piston Brembo monoblocks that squeeze 15-inch discs. It's the kind of hardware you need to repeatedly bring a 3,829-pound missile down from speed.



Other manufacturers have turned to carbon ceramic rotors to handle stopping duties on their high-end sports cars, but Nissan very wisely stuck with steel on the GT-R. While carbon discs offer all sorts of benefits when it comes to longevity and performance, the bits also add substantial cost. Carbon may be en vogue, but tacking another $7,000 onto the MSRP of a GT-R simply isn't worth it. As much as its base price has risen over the years, the GT-R is still a 'budget' supercar, and the steel rotors found at each corner have no trouble hauling the car down from epic speed repeatedly and without fade. Even after an enthusiastic sprint up and down my favorite mountain, the brake pedal remained firm and confident. That same stretch of tarmac has made short work of substantially lighter vehicles.

Of course, the kids in the minivan next to me in traffic don't know what rotors or calipers are good for, but they do know the GT-R looks radically different than their dad's Camry, and that's enough to send the lot of them into a feeding-time-at-the-zoo frenzy at the site of the wicked Nissan. That burly exhaust note certainly doesn't help, either. Have a listen in the video, below.

Inside, the cabin is a weird mix of class and off-the-shelf Nissan bits. If you're expecting to find a coddled luxury cockpit, point your pupils elsewhere. Yes, the seats are a gift from the car gods, offering excellent bolstering and plenty of comfort for long hauls in the saddle, and yes, like the dash, they're swaddled in supple leather. But there's also plenty of Altima-grade plastic sprayed throughout the interior, and the hard stuff squeaks and rattles with every wrinkle in the pavement. Nissan very smartly spiced things up with some real carbon fiber trim here and there, but the GT-R doesn't offer the kind of interior refinement you'd expect from something with a six-figure price tag.

But where the materials fall short, the electronic wizardry picks up the slack. The 2014 Nissan GT-R is still using the same multi-function display that first debuted with the model when it launched. It hasn't gotten any less cool in that time. If, like me, you grew up playing the Gran Turismo franchise, you'll immediately recognize the type face. Nissan turned to Polyphony Digital to design the interface, and the display has several user-configurable displays good for serving up a veritable cornucopia of information. Vehicle speed, transmission temperature, differential temperature, lateral g-force, throttle position and brake force can all be summoned at will. Hell, I'm amazed the thing doesn't tell me my body mass index.



Worst of all, Nissan put a timer on the dash. A timer. That's like rolling a pony keg into an Alcoholics Anonymous meeting, tapping the thing, pouring a round of beers and walking out. Listen, Nissan: One of us has to be responsible here, and it's not going to be me.

Fortunately, you can chose to hide the timer in the foolish number of configurable display screens, and when you aren't trying to stare down the impenetrable glare of temptation, you can focus on some of the cabin's other neat tricks. Chief among those are the three toggle switches positioned just under the climate controls. These manipulate the transmission, adjustable suspension and traction control to suit the road conditions or the driver's needs. Flip everything to R mode, and the GT-R grows horns. The gearbox shuttles more power to the rear wheels, the traction control lets you hang the tail out before reigning the party in and the suspension turns granite firm.

Normal mode still leaves plenty of hellion in the car's blood stream, but the whole system is a bit more muted. Flip the suspension to Comfort mode, and the car actually softens out enough to a decent highway cruiser, and the gearbox's Economy mode can net you an extra mile per gallon or so on the highway. It will also delay downshifts, so if you want to pop off a quick pass, you'll need to push the transmission back into Normal for the feat.



Pop the hood on the 2014 Nissan GT-R and you'll find a hand-built, twin-turbocharged 3.8-liter V6. To put it simply, the engine is as beautiful as a six-cylinder can be. Nissan ditched the typical engine cover nonsense to let the gorgeous raw aluminum speak for itself. Judicious red paint adds a little sense of the dramatic, but it's the knuckled intake runners diving into the engine's heart that really make an impression. There are 545 horsepower and 463 pound-feet of torque on hand, and it all gets pumped to the wheels via a six-speed dual-clutch transmission and an all-wheel-drive system.

I should start by saying the GT-R isn't great at first impressions. Situate yourself behind the wheel, mash the big red start button and you're met not with the aggressive bark of a high-strung V6 but with a metallic clatter from the gearbox. It sounds like a bucket of ball-peen hammers is about to puke out onto the pavement. Nissan tells me this is normal. I wonder about the company's definition of the word.

Back when Nissan debuted the GT-R, the world was just familiarizing itself with the notion of a dual-clutch gearbox, and a high-performance variant like the one found in this machine was bound to have some forgivable quirks. But that was back when the first-generation iPhone was brand new and Transformers was still in theaters. Mercifully, life has progressed since then. The transmission in the GT-R has not. Porsche, Ferrari, Lamborghini and Audi all offer DCT options that are as stout as they are smooth. If the GT-R is showing its age anywhere, it's right here.

The GT-R rips off a run to 60 miles per hour in around three seconds.

Fortunately, you forget all about niggling details like transmission refinement and cabin amenities the first time you get handsy with Launch mode. Put everything in R mode, plant your left foot firmly on the brake, peg the accelerator to the floor and the engine will plop itself just north of 4,000 rpm. Side step the brake and the GT-R will do some funny things with physics. There's a moment in first gear where the car tries to figure out exactly how much power it can put down without vaporizing all four tires. This takes approximately long enough to think, "This isn't so fast."
Then second gear hits.

The obscene acceleration extrudes a gooey mix of foul language and giggles from between your teeth as the car rips off a run to 60 miles per hour in around three seconds. The 100-mph barrier falls shortly thereafter, and if you're brave enough, the car will carry you all the way to 196 mph.
But plenty of cars are quick in a straight line. The real merit behind the GT-R comes from just how fast and capable it is in every sense. At first blush, a big, heavy machine like this one wouldn't seem happy darting its way through the East Tennessee mountains, but it's right at home tearing through my favorite hollows.



I've heard plenty of people criticize the GT-R for being too smart, for doing too much to stand between the driver and the driving experience. Those people can go chew on a sock. This car is smart, and it uses its brilliance to help you go faster. Despite its hefty waistline, the GT-R never feels heavy, offering up plenty of throttle-induced rotation any time you summon it. At no point do you feel insulated from what's going on around you. The steering is also nicely weighted, offering decent amounts of communication, and the brakes are excellent at taking whatever abuse you can throw at them over the course of two hours.

And while the all-wheel-drive system serves up plenty of grip, the GT-R makes it awfully clear that you're the one in control of how this party ends. There's enough power on hand to overcome the rubber, and that means you have to stay on point to keep the car out of the trees. Stop paying attention at any point and this car will merrily end you.

We all have our favorites – cars that would be ours if reality and responsibility were permanently suspended. For years now, the Cadillac CTS-V Sport Wagon has held that spot in my heart, but the 2014 Nissan GT-R has officially ousted the longroof. For the money, there simply isn't another car on the face of the planet that so artfully combines straight-line thrust with toe-tapping dance moves. I don't care that it doesn't come with three pedals. I don't care that it's older than the hills. I don't care that the transmission sounds like someone left a screwdriver floating around in there. Give me a long stretch of abandoned asphalt curling through a misty Tennessee morning and there's nothing else I'd rather have at my command.